Pour 95% des répondants "L’assurance doit s’engager vers des innovations de rupture !"

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Ce qui est nouveau, aujourd’hui, c’est la conjonction de la puissance, de la vitesse et du foisonnement de la révolution numérique. Dans toutes les industries, elle arrive avec une force et une vitesse considérables, elle n’est pas qu’une simple « révolution industrielle » vers plus d’informatisation et d’automatisation, mais une révolution qui transforme rapidement la société et le monde de l’entreprise. C’est cette révolution numérique, qui se produit sous nos yeux, avec une vitesse et une violence de rupture inégalée, que le secteur de l’assurance se doit d’aborder. Elle a des conséquences majeures sur les « habitudes » liées à notre industrie et apporte son lot de transformations souhaitées par les assurés, qui exigent les mêmes attentions que de la part de n’importe quelle autre marque : modernisation, besoin d’immédiateté, de simplification et de transparence, besoin de personnalisation. Le secteur de l’Assurance doit développer une véritable omnicanalité efficiente, une digitalisation massive et qualitative, la couverture de nouveaux risques, proposer de nouveaux services, anticiper ou s’adapter à de nouveaux usages,…et probablement trouver de nouveaux business models. Tout cela dans un contexte global très compliqué (finance/réglementation/modèle d’organisation/système d’informations/…).
Les géants de l’internet et les startups s’engagent dans le secteur de la finance, de l’assurance. Ces nouveaux acteurs peuvent reconfigurer rapidement le panorama de l’assurance. A l’appétit croissant qui les caractérisent essentiellement par le poids de leurs communautés, ils ajoutent la puissance de leurs technologies et de leurs capacités de financement, la connaissance étendue de leurs clients, leur volonté de se déployer massivement et très rapidement sur de nouvelles activités, mais aussi la créativité et à l’agilité parfois déconcertantes, pour certains groupes.
Alors une question semble essentielle, « L’assurance doit-elle s’engager vers des innovations de rupture ? ». Cette question, nous l’avons posée, sur notre site. Le résultat est sans appel, 95% des répondants sont affirmatifs !
Contact : Jean-Luc Gambey 
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